mercredi 23 avril 2008

Un poeme de Perrine.


Ô, noix de coco enchanteresse

fantastique fruit bucolique

j'aime à te manger sans paresse

jusqu'à en avoir la colique

(pouic)

Tes doux poils dans ma main

me rappelle ces doux matins

ou la rosée printanière

se déposait sur la bonbonnière

(tululut)

Ô, noix de coco céleste

née par delà les lointains océans

je te trouve soudain bien indigeste

et vais te regurgiter céans

(tagada tsouin tsouin)

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Muhaha
les noix de coco c'est la vie

Anonyme a dit…

oh oui, tout comme les muqueuses sont l'espoir.